Les Sagas

Il est toujours bon pour un skald de se tenir aux faits sur les accomplissements des gens importants et de toujours avoir une histoire à raconter. Depuis leur arrivé sur les terres sauvages de Varmstaden, plusieurs ont su se démarquer par leurs actions, et leurs histoires a pu être répertorié dans le Livre des Sagas. Le livre continu encore de se remplir au fil des saisons. Qui sait, peut-être deviendrai vous le héro de l'une de ses histoires?

Cliquez sur le nom afin de voir la Saga. 

Solveig Vidarsdottir


Solveig a une foi inébranlable en Odin et cette saga en est la preuve.

Les guerriers du clan voisin avaient pris d’assaut le petit hameau où elle passait. Elle avait pris la décision de protéger ces villageois et de combattre à leur côté car ils avaient été si hospitaliers avec elle. Elle ne pouvait pas les laisser tomber. Sa foi en Odin avait permis à plusieurs combattants de retourner au combat, mais ce n’était toujours pas suffisant. Alors qu’ils avaient tous été obligés de se replier dans une grange, Solveig pria en son cœur demanda à Odin de pourfendre le chef des ennemis. C’est alors qu’une puissante magie propulsa le chef des assaillants. Ce coup avait été tellement puissant que le chef ennemi y trouva la mort avant même d’atteindre le sol. Solveig et les guerriers du petit hameau se sentirent enthousiaste et repoussèrent leurs ennemis. C’était la dernière fois qu’ils s’en prirent au petit hameau.

Thorgrim Bjorkmarson


On dit que Thorgrim est fort comme un ours, mais selon cette saga ce serait peut-être l’ours qui serait aussi fort que Throgrim.

Un ours terrorisait la petite communauté. De plus les chasseurs n’étaient même plus capables de rapporter de quoi manger parce que les animaux avaient peur de la bête. On disait qu’elle était si grosse qu’elle aurait brisé une maison d’un coup de patte.

Les hommes de la petite communauté se disaient qu’on entendra parler pour l’éternité de celui qui vaincra le monstre. Thorgrim était jeune et audacieux. Il partit en chasse avec un arc, une flèche et une petite hachette. Il était parti seul dans les bois. Une fois loin de la communauté, il vit le monstre et il était encore plus gros que ce que les gens racontaient. Thorgrim pris l’arc et la flèche et fit mouche du premier coup, mais la flèche se brisa sur la peau rigide de la bête. Lorsqu’il dégaina sa hachette l’ours vit l’opportunité d’attaquer et brisa l’arme de Thorgrim. Toujours aussi audacieux Thorgrim remarqua une plaie sur le flan de la bête et utilisa cette faille pour entrer sa main à l’intérieur de l’ours. Il lui arracha une partie de sa fourrure et pu ainsi le tuer à main nue. Depuis ce jour la communauté appelle Throgrim Bjorkmarson L'Ours.

Ingvar Siggarson


Ingvar est un homme qui a plus d’un tour dans son sac et qui n’est jamais à court de ressources, comme le conte cette saga.

Le fer se faisait de plus en plus rare dans le lieu-dit et tous les outils des paysans étaient en train de briser et ne pouvaient être réparés. Les récoltes allaient se gaspiller si on n’avait pas les outils pour s’occuper de ces ressources. Le problème se rendit aux oreilles attentives du jeune Ingvar et il utilisa de ses ressources afin de fournir un métal d’une telle qualité qu’on aurait dit qu’il engraissait les champs. Le métal était si résistant que le forgeron se retrouva même sans travail.Grace à Ingvar, la région complète pu être nourrie par le lieu-dit. Il put élaborer des routes de commerce et nourrir descentaines de personnes. Son influence fut telle qu’on dit que c’Est ainsi que son père devint Jarl.

Kjrn Wolkjrson


Kjrn était un chasseur hors pair et cette saga en est la preuve.

L’hiver avait été très long, très froid et très intense. Nous n’avions pratiquement jamais vu autant de neige en Vinterborg. Les réserves s’amenuisaient et la famine s’installait. Chaque jour notre chasseur devait aller encore plus loin afin de revenir avec assez de nourriture pour nourrir les membres du village.

Le jour vint rapidement ou sa sœur, Eibhilin n’eut plus rien à faire cuire d’autre que de la misère et de la neige. Kjrn déterminer à sauver le village partit en chasse et se dit qu’il ne ménageraient aucune proie. Tel un renard, il chassa tout ce qu’il pouvait, même le plus petit des mulot se cachant sous l’épaisse couche de neige.

Sa chasse dura 3 jours et 3nuits, et quand il revint, il avait un chariot débordant de produits de la chasse. Il avait même apprivoisé un cerf pour tirer le chariot. Depuis cet instant le village ne manqua jamais de nourriture.

Magnus Sigurdson


Magnus Sigurdson était un fervent priant de Tyr, mais il avait une encore bien plus grande ardeur à défendre son Jarl. C’est justement ce que raconte cette saga.

Lors du premier conflit armé entre la Nordurlande et la Suthirlande, Magnus avait fortement combattu aux côtés de grand héros. Il n’était aucunement intimidé. Sa force était grande et son honneur encore plus.

Les hommes de la Nordurlande mirent le grappin sur Goderik, le Jarl de la Suthirlande. Blessé et presque mourant il implora pour sa vie. Le Jarl Vidar le Sage décida d’être clément. Il fit un marché, nous te ferons guérir mais tu devras vaincre notre champion pour avoir le droit de rentrer chez vous. Avant même que le Jarl demande à son peuple de choisir un champion, Magnus Sigurdson se présenta, le peuple scandait son nom. On pouvait entendre les échos de son nom retentir dans toute la Nordurlande.

Un cercle se forma et les armes furent mesurées. Le duel allait commencer. Le feu jaillissait des yeux de Magnus, Goderik était intimidé. À peine le duel commencé que le Jarl de la Suthirlande priait pour sa vie. Le Jarl Vidar le laissa fuir dans la honte et depuis les Suthirs raconte que Magnus était un demi-géant avec la force de huit hommes.

Kvoth McKoy


Rare sont les skalds qui ont l’honneur et le mérite d’avoir une Saga en leur noms, encore plus rare sont ceux qui sont encore vivant pour raconter leur histoire.

Kvoth McKoy avait eu l’appel du devoir lorsque le Jarl Vidar envoya des colons en Nordurlande. Un érudit se devait de les suivre et utiliser la sagesse des anciennes sagas pour dire aux vikings comment frapper de manière impressionnantes… sur les autres vikings.

Kvoth McKoy était de nature modeste, il aimait peu attirer l’attention, cependant il observait son environnement et savais saisir une opportunité. Il était tellement humble qu’il demandait conseil auprès des autres Skalds qui se pensaient plus connaissant et mieux que lui.

Le jour ou le Jarl Vidar le sage mis le pied au village, aucun skald n’était présent pour chanter et le divertir. Il se mourait d’ennuie de façon tragique. Le héros sommeillant en Kvoth fut interpellé et il chanta les louanges d’autres héros pour sauver le Jarl mourant. Mais ce qu’il ne savait pas c’est qu’en fait le véritable héro c’était lui. Sauvant ainsi le Jarl et toute la Nordurlande.

Agneta Sigurddottir


Un vieux proverbe dit: Quand nous en avons pour deux, nous en avons pour trois. Ce proverbe a été créer en l’honneur d’Agneta Sigurddotir et c’est ce que raconte cette Saga!

Les colons venaient à peine d’emménager dans la nouvelle contrée sauvage, tellement sauvage que la seule choses que les sauvages trouvaient à manger était des colons.

Agneta savait qu’un homme qui avait bien mangé en valait deux, elle prit donc l’initiative d’organiser un banquet dans les première heures de leurs arrivé en terres sauvage. Elle décida d’amélioré la recette de sa grand-mère à base de misère et de rien. A peines une heure plus tard elle avait assez de nourriture pour 200 hommes, mais quand il y en a pour deux, il y en a pour trois… elle réussit à nourrir 300 hommes. Il y avait tellement de nourriture que les sauvage sont venu en douce voler les restants et ont trop mangé...

Les colons purent fêter en paix et les sauvages les laissèrent tranquille un bon moment. Agneta Sigurddotir était la plus grande cuisinière de Nordurlande.

Morrigan Esusdottir


Parfois, l’Amour est la plus grande des monnaies lors d’un échange. C’est pourquoi différents clans font des mariages arrangés afin d’acheter paix et protection. Avec Morrigan, son cœur était la clef de toutes les négociations.

Un membre imminent de la communauté était venu la chercher afin de mener des négociations avec la nation ennemie. Eux seuls possédaient le remède de la maladie mortelle qui se propageait dans la communauté. Après une marche interminable, ils arrivèrent au campement des marchands. Juste à voir leurs visages, tous savaient que les marchands étaient l’incarnation même du mal.

Morrigan ne se laissa aucunement intimider. Elle entama les discussions avec l’imminent de sa communauté et le chef des marchands. N’eut-elle qu’à ouvrir la bouche que le chef des commerçants voulait déjà clore un marché. Toutes les parties étaient gagnantes. Jamais la Nordurlande n’avait vue telle négociatrice.

Sigvard Gunnarson


On raconte souvent que l’amour est l’affaire des dames, mais pour Sigvar Gunnarson, c’était une affaire personnelle. Il s’était fixé un objectif d’un très haut niveau. Il voulait devenir Jarl.

Dans son environnement, il n’était ni l’aîné, ni le plus fort. Ce qu’il avait, c’était un cœur pur et un honneur inébranlable. Il voulut donc parcourir le monde et trouver la perle rare. Il se retrouva donc avec une poignée d’amis loyaux dans une expédition. Ils arrivèrent alors en contré lointaine, et trouvèrent une petite communauté, ou le Jarl n’avait qu’une fille. Mais jamais homme n’avait trouvé place en son cœur. Elle était frigide comme Niflheim, peut-être même plus, son âme étant dévoué au tout puissant Odin, elle s’était juré de ne jamais prendre homme à ses côté.

Le défi était grand, mais sans relâche, il travailla, jour, nuit, à protéger la dame, lui offrit son amitié et prit le temps de réchauffer le cœur totalement congelé de la dame. Tranquillement mais surement il sut lui plaire. Tranquillement mais surement, il sut apparaître à ses côté. Tranquillement mais surement, elle tomba amoureuse de lui.

Depuis ce jour, on parle de Sigvard Gunnarson comme étant l’einheri au cœur chaud et réconfortant.

Brim Sovak


Un vieux proverbe dit: L’histoire est écrite par les vainqueurs… Tous, du moins ceux qui ne perdent pas, peuvent la raconter. Cette saga raconte la victoire de Brim Sovak.

L’histoire se passa dans une petite colonie rongée par des conflits intestins, la maladie et envahie par un peuple sauvage et puissant. Brim, nouvellement arrivé, décida d’offrir son bras et son arme afin de protéger le village.

Brim avait bien d'autres choses à offrir car il était sage et puissant. En général, d’une parole il renversait la vapeur des conflits et d’un coup de hache il faisait tomber les arbres de la forêt.

Le jour vint où les conflits de la petite colonie perdue étaient si grands et si intenses que les clans étaient sur le pied de guerre. Le Jarl se retourna contre son peuple et plus rien ne pouvait plus les protéger. C’est alors que Brim Sovak s’interposa. D’un mot, il immobilisa le vilain Jarl et d’un coup de hache, le fit tomber.

Depuis ce jour, Brim est considéré comme le défenseur du peuple.

Annelie Eldrid


Annelie Eldrid, qu’on surnomme celle qui chevauche le feu, était une fervente de Njord, du moins elle a fait justice en son nom, et c’est ce que cette histoire raconte.

En cette nouvelle terre, il y avait beaucoup de sauvages et d’impies. Ces sauvages et ces dits impies, avaient volé une relique appartenant au seigneur des océans et avait fait un autel répugnant avec cet artefact.

Annelie, nouvelle en ces terres, mais non pas dépourvue de bon sens, avait entendu parler de l’horreur. C’est avec courage et détermination, une flamme étincelante dans les yeux, qu’elle a organisé une expédition qui était prédestinée à l’échec vu le nombre imposant de sauvages, de barbares et d’impies…. Ce fut non sans combattre que le chemin se fit, mais chacun de ses adversaires finissait brûlé jusqu’à la moelle.

Arrivée près de l’autel, il ne restait qu’une chose à faire, courir, ramasser la relique et fuir. Ce fut sous l’œil vigilant de tous qu’elle le prit en mains et fuit. Le village entier stupéfait par son courage ou sa témérité, ne put rien faire que de contempler son œuvre.

Et c’est depuis ce jour qu’on parle d’Annelie, la Seidr farouche comme le feu.

Une voix dans la nuit


La paix et la tranquillité sont des concepts bien fragiles. Cette saga en est la preuve.

Pour la première fois depuis sa fondation, le petit village avaient enfin trouvé un terrain d’entente. Chacun des clans avaient trouvé son compte et la vie venait finalement de prendre un sens. Les clans étaient sur le point de célébrer le fait qu’ils avaient vaincu leurs ennemis sauvages, que la maladie serait bientôt enrayée, que les animaux allaient revenir dans la forêt…. Le rêve du défunt Jarl était sur le point de se réaliser.

C’est alors que le cri d’une femme se fit entendre. Un cri de terreur, un cri de douleur... Un cri qui transperce l’âme. C’est alors que les fiers hommes et les courageuses femmes prirent les armes et partirent explorer la forêt... Mais rien...

Les recherches furent longues et jamais personne ne sut qui avait crié, ni pourquoi... Un mystère à jamais élucidé: peut-être un cadavre dans une tranchée, comme quoi la vie ne tient qu’à un fils... Ou à un cri.

Les skalds nous racontes cette histoire afin que tous comprennent à quel point la paix et la tranquillité sont fragiles...